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Ansök senast: 2024-08-18

PhD en génétique microbienne (H/ F)

Publicerad 2024-06-19

Informations générales

Intitulé de l'offre : PhD en génétique microbienne (H/F)
Référence : UMR5100-OLAREN-002
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : TOULOUSE
Date de publication : mercredi 19 juin 2024
Type de contrat : CDD Doctorant/Contrat doctoral
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 octobre 2024
Quotité de travail : Temps complet
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2135,00 € mensuel
Section(s) CN : Interactions, particules, noyaux du laboratoire au cosmos

Description du sujet de thèse

Klebsiella pneumoniae (Kpn) est un pathogène opportuniste pouvant provoquer des pneumonies, des infections urinaires récurrentes ou des abcès au foie. Kpn est aussi devenue une menace majeure pour la santé publique. Deux lignées sont particulièrement préoccupantes : d'une part, les souches multirésistantes associées aux infections nosocomiales et, d'autre part, les souches hypervirulentes et hypermucovisqueuses (HMV). Les déterminants génétiques de la résistance aux antibiotiques et l'hypervirulence sont codés dans des plasmides, et un nombre croissant de rapports font état de la convergence des ces déterminants dans la même cellule et/ou le même plasmide.
La capsule bactérienne, la couche la plus externe des bactéries détermine les taux de transfert horizontal de gènes (HGT) dans Kpn et donc la propagation des plasmides. En outre, la production accrue de capsule est directement associée à l'HMV. Cependant, le rôle l'hypermucoïdie dans l'adaptation microbienne et sa contribution aux taux d’HGT n’a pas été étudié.
Ce projet abordera le rôle d'un facteur de virulence majeur et l’HMV associé dans le transfert horizontal de gènes. Il répond à d'importantes questions évolutives en testant la manière dont les bactéries évoluent sous l'effet de forces de sélection opposées, telles que celles mises en œuvre dans le cadre d'une thérapie combinée. Ce projet fournira des informations clés qui peuvent être utiles à la surveillance épidémiologique pour prédire quelles variantes peuvent devenir plus susceptibles d'évoluer vers des clones à haut risque.

Contexte de travail

Le travail sera effectué dans une nouvelle équipe bien financée et récemment installée à Toulouse, au Centre de Biologie Integrative (CBI).
Le CBI est un important centre de recherche en biologie fondamentale géré par l'Université de Toulouse (UT) et le Centre national français de la recherche scientifique (CNRS). Il est situé dans le sud-ouest de la France sur le campus principal de l'Université Toulouse III-Paul Sabatier qui offre une formation pluridisciplinaire dans tous les domaines de la science, de la santé, de l'ingénierie et de la technologie.

Le CBI rassemble actuellement 400 scientifiques travaillant dans des groupes de recherche internationalement reconnus, qui étudient les aspects fondamentaux de la structure et de la fonction des systèmes biologiques complexes. La recherche au CBI couvre toutes les échelles, des molécules individuelles aux organismes entiers et aux groupes d'animaux. La recherche au CBI est multidisciplinaire, combinant un large éventail de domaines tels que la biologie structurale, la biochimie et la biophysique, la génétique, la génomique et l'épigénétique, ainsi que la biologie cellulaire, la biologie du développement, la neurobiologie, le comportement collectif des animaux, et la biologie computationnelle et systémique.

L'unité de microbiologie du CBI, le LMGM, accueille 9 groupes internationalement reconnus pour leurs recherches sur l'évolution et la biologie moléculaire et cellulaire des bactéries à travers l'analyse intégrative de mécanismes fondamentaux clés.

Contraintes et risques

Travail avec des organisms BSL-2

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